Après deux ans de vie à Clermont-Ferrand, il me reste forcément de jolis souvenirs. J’avais la chance d’habiter rue Fontgiève (et la malchance que ce soit à côté d’un bar bruyant), j’ai ainsi pu profiter de la vie agréable en centre-ville, où tout est accessible facilement à pied.
Depuis mon départ en août 2011, j’ai eu l’occasion d’y revenir deux fois le temps d’un week-end (en 2011 et en 2012, ça commence à dater !), le temps de la Biennale du Carnet de Voyage qui était mon événement culturel favori là-bas (renommé en « Rendez-Vous du Carnet de Voyage » depuis, car une Biennale qui a lieu tous les ans, ça ne colle pas).
Parmi mes meilleurs souvenirs clermontois
J’aimais beaucoup la Place de Jaude et ses jets d’eau, et j’ai bien sûr le souvenir de l’effervescence qui y régnait quand l’ASM a gagné, en 2010. A Clermont, je recommande de voir aussi la Place de la Victoire et les petites ruelles tout autour, et d’admirer les peintures en trompe-l’œil, les jolies fontaines anciennes, le Jardin Lecoq avec son étang, ses cygnes, sa roseraie et sa fontaine originale… Ne manquez pas non plus la superbe basilique Notre-Dame-du-Port et son style roman, ainsi que le Musée d’art Roger Quilliot !
Parmi les incontournables, notez la rue des Gras qui monte vers l’imposante Cathédrale de Notre-Dame, d’architecture gothique et construite avec la pierre de Volvic noire présente localement. On peut la voir de très loin, surveillant les quartiers alentours…
Pour pousser un peu la découverte de cette ville auvergnate, rendez-vous au quartier de Montferrand, où ont lieu chaque année les fêtes médiévales, ou encore au Parc de Montjuzet, pour profiter d’une vue imprenable !
Un peu en-dehors de Clermont-Ferrand, on trouve le célèbre plateau de Gergovie. J’y ai adoré les soirées cerf-volant que l’on y improvisait et les couchers de soleil admirés là-bas…
S’évader facilement
Ce qu’il y a de chouette avec Clermont, c’est aussi la possibilité de faire de belles randonnées à seulement 20 minutes (en voiture), vers Orcines. Le Puy de Dôme et le Mont Pariou (en face) sont en effet situés tout près. Il y a des couleurs et atmosphère pour chaque saison, on ne s’en lasse pas !
Ascension du Puy-de-Dôme (à l’automne)
Ascension du Mont Pariou (en plein hiver)
Ces photos ont été prises de 2009 à 2011. Aujourd’hui forcément, j’immortaliserais la ville différemment, avec un autre regard et une autre technique, c’est aussi pourquoi j’espère y revenir d’ici quelques temps.
Profiter à nouveau des endroits que l’on aimait, des amis qu’on a laissé et donner un peu plus justice à cette ville bien plus jolie que ce que l’on s’imagine souvent.
2 Commentaires
petitsruisseauxgrandesrivieres
7 septembre 2018 at 22 h 35 minEtant auvergnate d’origine, je ne peux qu’apprécier cet article ! L’Auvergne a un charme et une douceur harmonieuse qu’on ne retrouve pas aisément 🙂
parenthesecitron
7 septembre 2018 at 22 h 43 minC’est vrai que la vue depuis le Puy de Dôme et l’ascension du Pariou dans la neige m’ont laissé des souvenirs assez uniques