Porto, je l’avais déjà visitée en 2016.
Tout d’abord, explicitons le titre : loin de moi l’idée que Lisbonne, Faro et d’autres villes ne sont pas authentiques, mais Porto a ce je-ne-sais-quoi de beaucoup moins touristique et plus traditionnel que d’autres villes du Portugal. C’est aussi une ville un peu plus pauvre, moins rénovée et donc peut-être plus représentative de ce que pouvait être la vie portugaise il y a quelques décennies. Elle a par ailleurs été moins détruite que la capitale (qui a vécu tremblement de terre et incendies), ce qui peut expliquer qu’on y retrouve des bâtiments un peu plus anciens.
Bien sûr, certaines rues aux maisons vides et désaffectées peuvent surprendre, voire rebuter les âmes à la recherche de maisons colorées parfaites, mais le Portugal c’est aussi ça. Les moyens manquent pour réhabiliter les maisons du centre-ville et il doit être moins cher à présent de se loger en périphérie dans un bâtiment neuf que de s’attaquer à de tels chantiers…
Nous avions trouvé une location dans le centre, à 6 minutes à pied de la gare (en grimpant). Le prix des logements a augmenté depuis mon séjour de l’an dernier, mais cela reste très abordable en comparaison de certaines destinations. Et puis en connaissant les salaires assez bas dans le pays, dur d’en vouloir aux locaux d’essayer de vivre du tourisme. Ce dernier a permis d’apporter des fonds pour rénover certains logements petit à petit. Cependant, il ne faut pas non plus occulter le revers de la médaille, qui est que certains de ces logements sont pour cela retirés du marché de la location annuelle pour les locaux, ou bien devenus hors de budget pour eux. J’avoue ne pas savoir encore bien me positionner vis-à-vis de cette question ambivalente (loger chez l’habitant ou non, dans ces conditions), mais ça viendra.
Très différente de Lisbonne donc, Porto se décline essentiellement entre un vieux centre sur les rives du Douro et un bord de mer (puisque le fleuve Douro s’y jette directement au niveau de cette ville). De l’autre côté du Douro se trouve Vila Nova de Gaia.
Question météo, on n’a pas vu vraiment Porto sous le soleil (sous 3 rayons, oui, mais pas sous le soleil) cette année (j’avais eu plus de chance l’an passé). C’est vrai que cela change un peu l’ambiance, surtout en hiver (absence de végétation) : la ville paraît un peu plus triste sans belle lumière (car elle est globalement plus sombre que Lisbonne, architecturalement parlant). Elle n’en reste pas moins belle, cependant.
Je vais commencer par les incontournables, et présenter aussi quelques endroits moins plébiscités qui m’ont également plu.
Les must-see à Porto
Porto est une ville beaucoup moins grande que Lisbonne, son centre-ville se parcoure plus aisément à pied. Pour atteindre d’autres spots plus excentrés, le bus est une option pratique.
Cathédrale de Porto (la Sé)
Bien sûr, comment l’oublier… La Sé domine le centre-ville : goélands, mouettes et pigeons se disputent le spot, c’est dire ! Depuis son esplanade, on peut y apercevoir de superbes couchers de soleil sur le Douro (pour nous c’était raté, pour cause de gros nuages arrivés pendant qu’on se refaisait toute la montée du quartier à pied, mais en 2016 j’avais beaucoup apprécié).
Le quartier qui l’entoure, fait d’escaliers et de ruelles étroites en pente, est vraiment agréable à parcourir dans tous les sens. Ne manquez pas d’y boire un verdero, ce fameux vin vert portugais (sorte de vin blanc jeune rappelant le Chardonnay, si je ne dis pas de bêtises) : c’est rafraîchissant et le verre coûte moins d’un euro, ce serait dommage de s’en priver !
Igregia dos Clerigos
Cette Église se distingue par sa jolie tour très particulière. Nous n’y avons pas grimpé (c’était prévu mais à force de reporter, on a fini par zapper faute de temps), mais il s’agit d’un point de vue connu pour qui souhaite découvrir la ville en prenant un peu de hauteur.
Ponte Luiz I
Ce pont de style « Eiffel » permet de rejoindre Vila Nova de Gaia (la ville des caves de porto), située de l’autre côté du Douro. Il possède deux étages, je vous conseille d’emprunter chacun des deux (un à l’aller, l’autre au retour), la perception n’est pas la même. Depuis l’un comme l’autre, la vue sur les ruelles, escaliers et maisons de Porto est vraiment chouette ! On y a également une vue sur le Monastère du côté de Vila Nova de Gaia.
Vila Nova de Gaia
Tant qu’à être sur le pont, autant le traverser et en profiter pour grimper sur les hauteurs de Vila Nova de Gaia, pour admirer Porto d’un peu plus loin (et en un peu plus global). Sur ce côté du Douro, il est possible de visiter les caves de Porto et d’en déguster, mais on ne s’est pas laissés tenter finalement.
Ce ce côté aussi, les maisons abandonnées (et détruites), sont légion.
Tram 21
C’est un peu l’équivalent du Tram 28 de Lisbonne, à la différence près que ce tramway-là, bien que passant en bord de mer / Douro une partie du temps, ne vaut pas forcément le tarif auxquels sont vendus les tickets (presque 3€ pour un trajet bien trop court). Préférez de loin celui de Lisbonne si vous avez prévu d’y aller également.
La gare de São Bento
Impressionnante pour ses fresques d’azulejos bleus, cette gare est vraiment un must-see. En sortant par l’entrée latérale de droite, empruntez la ruelle également située à droite, vous tomberez sur une fresque un peu plus contemporaine…
Balade en bord de mer
Nous avons marché longtemps le long de la mer, depuis les « piscinas das Marés » jusqu’à Foz de Douro, en passant par le Fort de São Francisco Xavier. Il y avait une lumière magique et des vagues surprenantes ce jour-là, ça a rendu cette fin de balade encore plus chouette.
Anecdote amusante, je crois avoir vu le même groupe de seniors jouer sur la plage qu’il y a un an et demi ! 🙂
Les autres églises, les rues…
Tout comme Lisbonne en revanche, Porto est un musée à ciel ouvert. Parcourez les rues, levez la tête, admirez les azulejos (à prononcer avec un « j » français en portugais, à la différence de l’espagnol), entrez dans les églises, promenez-vous dans les jardins (pour admirer par exemple la Coupole du Palação da Cristal)…
Visiter Porto autrement
Musée de la Photographie
On peut y admirer une rétrospective intéressante des différents appareils utilisés au fil des décennies (voir des siècles), ainsi que des expositions temporaires. Le « plus » de ce musée, c’est son cadre : il s’agit d’une ancienne prison, ce n’est pas banal !
Le marché Bolhão
Ce marché est à voir essentiellement pour son architecture intéressante et la vie très authentique qu’on y trouve. On y a aperçu un affûteur de lames, c’est quand même assez rare de nos jours.
Piscinas das Marés
En hiver, l’endroit ne vend pas autant de rêve que ce l’on pensait, mais en été, allez-y pour vous rafraîchir et admirer les différents bassins à flanc de mer (il s’agit d’une piscine municipale à l’air libre, dans un cadre superbe). Une manière de renouveler le plaisir de la baignade en mer (mais pas forcément une manière d’être seuls) et de poursuivre la balade au bord de mer citée ci-dessus.
En matière de musées, nous avons manqué de temps (et d’énergie, fin de voyage oblige) pour aller voir le Musée Contemporain.
Quelques bonnes adresses à Porto
Restauration
Café My Ribeira
L’endroit fait aussi guest-house, et vu la déco du café, je suppose que les chambres doivent être très agréables (en plus d’être idéalement situées – à deux pas du Ponte Luiz I). Très bon chocolat chaud et excellentes pâtisseries, de quoi se consoler quand il tombe des trombes d’eau dehors (oui, notre première journée a été quelque peu compliquée par la météo).
⋗ R. Clube Fluvial Portuense 8 | Site web
Adega Saõ Nicolau
Une soupe de légumes divine à 2€ (si si) et du riz-lentilles pour moi (j’en raffole) ; de la morue à l’huile ainsi que des sardines pour Romain. Deux fois que j’y mange (il y a deux ans, c’était avec des amis), et franchement, je recommande !
⋗ R. de São Nicolau 1 | Facebook
Trinkas
On y déjeune bien et pour pas cher, en témoignent le nombre d’étudiants qu’on y croise. L’endroit est une nouvelle fois végéfriendly, on adapte même avec un grand sourire une assiette qui ne l’est pas en vous mettant double ration de légumes, vraiment appréciable !
⋗ R. de Sá de Noronha 1 | Site web
Leitaria da Quinta do Paço
J. m’y avait emmenée en 2016, c’est donc à la recherche de mes souvenirs que nous y sommes allés. Le lieu est réputé pour ses éclairs au chocolat. Personnellement (ou en tant que Français, je ne sais pas), nous les avons trouvés un peu lourds car une sorte de crème chantilly est ajoutée au beignet (qui n’est déjà pas la gourmandise la plus légère du monde, avec sa crème pâtissière). La recette varie un peu de celle de l’éclair au chocolat tel qu’on le connaît en France. Avec les années, je me suis mise à largement préfèrer les pâtisseries moins sucrées et/ou plus légères, mais si votre coeur ne se soulève pas à la vue d’une énorme forêt noire ou d’un gigantesque Paris-Brest, vous serez rodés : tentez la dégustation, ça peut vraiment vous plaire !
⋗ Praça Guilherme Gomes Fernandes 47 | Site web
Casa da Mariquinhas
Deuxième round pour moi pour cette adresse également, et encore de meilleurs souvenirs que la première fois ! Impossible d’oublier cet endroit et l’accueil formidable que nous y avons eu… Il s’agit d’un restaurant où on mange bien (et sans problème végétarien, ce qui est déjà agréable en soi) mais surtout, où il est possible d’écouter du Fado, ce style musical incontournable du pays (et surtout de Lisbonne, Coimbra et Porto). Ce restaurant fonctionne avec un principe simple : un montant minimum à consommer pour la soirée (de plusieurs heures), pour assurer de rémunérer correctement cuisiniers, serveurs, chanteurs et musiciens (dans la mesure où la table n’est pas ré-attribuée dans la soirée à d’autres clients).
Pour l’anecdote, il y a deux ans j’avais eu un excellent contact avec l’une des chanteuses de Fado travaillant dans ce restaurant (Casa Da Mariquinhas possède d’ailleurs à présent une deuxième adresse dans Porto, ce que j’ignorais). Je me souvenais d’elle mais ne savais pas si elle chanterait ce soir-là. Il faut savoir que les chanteurs, habituellement au nombre de 3 pour la soirée, chantent environ un quart d’heure (pendant lequel le service s’arrête et les lumières se tamisent), en se relayant et en effectuant chacun deux passages. En tout, cela fait donc à peu près 1h30 de « music-only ».
Soudain, j’aperçois Fatima Couto (la chanteuse en question) et je profite qu’elle soit dans le sas du restaurant pour échanger quelques mots avec elle (elle doit emmener des clients à l’autre adresse mais ne sait pas quand ils vont arriver). Elle part, et la soirée se déroule sans qu’elle ne vienne chanter, ce qui forcément, me déçoit un peu puisque je sais qu’elle est quelque part, pas loin… Au bout de 4 sessions effectuées donc par deux chanteurs tour à tour puisque Fatima n’est toujours pas revenue, on en est au dessert / café et les gens commencent à partir. Nous ne sommes plus que 2 couples quand Fatima revient, et l’autre couple justement, ne sachant peut-être pas qu’elle s’apprête à chanter ses deux sessions, s’en va. On se sent forcément un peu seuls et on pense à partir aussi, mais comme j’avais discuté avec elle auparavant en lui disant combien j’avais hâte de l’entendre de nouveau chanter, elle vient directement nous voir, et nous réinstalle plus près des musiciens tout en nous offrant un Porto ! On a finalement eu droit à une session intime avec elle et les musiciens (on n’est pas restés pour la deuxième car on n’a pas voulu abuser, par égard pour elle et le personnel car il commençait à être tard) ainsi qu’à de grandes embrassades, moment magique ! Comme souvenir de voyage de noces (parce que oui, quand même…), difficile de faire plus mémorable (c’est pourquoi je tenais à le conter ici).
⋗ R. de São Sebastião 25 | Site web
Lado B
Nommé littéralement « Face B » en référence à la mythique K7 (si vous me dîtes que vous ne l’avez pas connue voire même jamais manipulée, je vais me sentir un peu vieille !), cet endroit permet de déguster une francesinha. Personnellement j’ai passé mon tour (et me suis contentée d’un jus de fruit et d’un dessert), malgré l’option végétarienne présentée : j’ai très mal digéré celle de l’an dernier, je n’en rêvais donc pas cette année (la vue de cette sorte de croque-monsieur baignant dans énormément de sauce a suffi à m’en dissuader…).
La francesinha est un plat typique portugais (surtout du nord il me semble), Romain tenait donc logiquement à savoir de quoi il retourne et il n’a pas été déçu (sans en faire non plus son plat préféré car dans la version carnée, la viande et la charcuterie étaient bien trop présentes à son goût).
⋗ R. de Passos Manuel 190 | Trip Advisor
Praia da Luz
Lieu un peu plus posh que les précédents, mais toujours très abordable (on est au Portugal…), du moins pour le rez-de-chaussée (l’endroit propose une version gastronomique à l’étage). J’y ai déjeuné de mon éternelle soupe, parfaite pour compenser l’abus de pâtisseries portugaises. La vue sur la mer et les phares est belle, et du printemps à l’automne, la terrasse doit être encore plus agréable à fréquenter.
⋗ Praia da Luz | Site web
Shopping
La Paz
Conseillée par le Wallpaper City Guide de Romain, cette petite boutique de mode pour hommes vaut le détour, ne serait-ce que pour les yeux. On se trouve là dans une ancienne pharmacie, et nombreux sont les éléments à l’évoquer : de jolies vitrines et fioles, un grand comptoir, un lavabo d’époque (XIXème je pense), bref, un ravissement. De plus, on y trouve des vêtements simples mais de grande qualité (donc durables dans le temps, youpi c’est exactement ce que l’on cherche l’amoureux et moi !), qui plus est, produits localement (tout pour plaire, je vous dis !). En plus, les soldes commençaient quand on est arrivés à Porto, Romain ne pouvait pas mieux tomber pour investir dans une pièce éthique.
⋗ Rua da Reboleira 23 | Site web
Maquinas de outros tempos
Si vous recherchez de vieux objectifs argentiques à visser sur vos appareils photo reflex ou hybrides (avec bague d’adaptation), vous trouverez sûrement des merveilles dans cette petite boutique (et de bons conseils). J’en suis ressortie avec mon cadeau de Noël (tardif oui, puisque je n’ai finalement rien eu de cette wishlist – un Noël sans cadeaux c’est étrange, mais c’est appréciable aussi de sortir au moins un peu du sacro-saint circuit de consommation de cette période de l’année). Je préférais finalement fonctionner au véritable coup de coeur « in situ »), et mon dévolu s’est porté sur un objectif Industar 61L 50 mm f/2.8 ainsi qu’un Cosinon 55 mm f/1.4. Si vous avez des objectifs plus qualitatifs encore dans le collimateur (ah ah), jetez-y un oeil, on y trouve toutes sortes de gammes de prix donc vous y dénicherez sûrement des merveilles !
⋗ Rua dos Mártires da Liberdade 154 | Site web
O! Galeria
Si vous êtes dingues d’affiches modernes issues du travail d’illustrateurs, c’est LE spot ! Il y a vraiment du choix et de jolies trouvailles à faire.
⋗ Rua miguel Bombarda | Site web
Almada 13
Un « concept store » (nom donné à un peu n’importe quelle boutique maintenant, mais passons) réunissant vêtements, bijoux, maroquinerie et objets de déco de petits créateurs. Les prix vont de très abordables à abordables, il y en a un peu pour toutes les bourses en somme. Pas de trouvaille pour nous mais honnêtement, parce qu’on a souhaité rester raisonnables, en ce qui me concerne ce n’était pas les tentations qui manquaient. D’ailleurs, si vous aimez ce genre de boutique, la rue entière aura de quoi vous ravir… 😉
⋗ Rua do Almada, 13
The Feeting Room
Une autre boutique comme la précédente, réunissant des vêtements homme / femmes, des accessoires (dont des sacs à dos stylés), des objets de déco et même un espace café.
⋗ Largo dos Lóios 86 | Site web
Porto en vidéo
Vous avez des questions, des souvenirs ou des conseils à partager sur Porto ? Faîtes-en part en commentaire !
12 Commentaires
Samsha
12 mars 2018 at 23 h 21 minSuperbes photos!!! ça me donne tellement envie d’y retourner et de tester les jolies adresses recommandées.
https://thecosmicsam.com/2017/12/27/porto-la-charmante/
parenthesecitron
14 mars 2018 at 10 h 24 minMerci ! 🙂
marionromain
12 mars 2018 at 23 h 25 minSuperbe article sur Porto (cette lumière, sur ces photos ! De mon côté, c’est ainsi que je préfère les jours ensoleillés, un peu voilés, comme ça. C’est mon côté bretonne qui s’exprime, sans doute… 🙂 Du Portugal, je ne connais que Lisbonne (et Madère), mais j’aimerais beaucoup découvrir Porto, dont je n’entends toujours que des retours très enthousiastes et charmés.
parenthesecitron
12 décembre 2019 at 5 h 36 minLa lumière est plus diffuse les jours de ciel avec nuages, il y a moins d’ombres fortes et ça rend les lieux plus doux, plus ésotériques un peu. En général je préfère aussi 🙂
Ornella
13 mars 2018 at 11 h 30 minC’est vrai que pour moi aussi le temps était voilé en permanence. Je suis allée à Porto fin mars de l’année dernière.
J’avais adoré le Monastère et le Cimetière d’Agramonte notamment, riche d’histoire.
parenthesecitron
14 mars 2018 at 11 h 45 minIl y a deux ans j’avais eu un peu plus de beau temps mais c’est vrai que selon la saison c’est plus ou moins risqué, et l’hiver n’est pas forcément beaucoup plus ensoleillé là-bas que dans le reste de l’Europe…
Stephanie
13 mars 2018 at 16 h 07 minJ’aime bien tes articles ! Le musée de la photographie est bien ? Il vaut le coup d’oeil ? 🙂
parenthesecitron
13 mars 2018 at 16 h 25 minMerci ! Nous on a bien apprécié oui, et de toute façon il est gratuit donc ça se tente toujours (rien n’empêche de le faire vite si les expos du moment sont moyennes)
Myriam
14 mars 2018 at 12 h 06 minHello,
tout d’abord tes photos sont très jolies, elles ont un côté doux qui ressortent bien avec le côté traditionnel de la ville de Porto. Je connaissais cette ville que de nom mais je suis étonnée de voir qu’elle n’a rien à voir avec Lisbonne. ça donne vraiment envie d’y aller faire un tour pour quelques jours !
parenthesecitron
14 mars 2018 at 13 h 19 minMerci beaucoup pour ce beau compliment ! L’atmopshère est en effet très différente de Lisbonne. Je ne saurais dire laquelle des deux je préfère, elles méritent chacune d’être vécues, ressenties 🙂
Marion
17 mars 2018 at 14 h 08 minWouah ce tramway en bois est une merveille ! ❤ En effet, cette ville fait beaucoup moins touristique mais je crois que c’est ce qui lui donne d’autant plus de charme… c’est vivant ! Et je suis époustouflée par ta photo de couverture au bord de la mer, les couleurs sont en effet magnifiques. Merci pour ce voyage!
parenthesecitron
17 mars 2018 at 21 h 50 minMerci Marion ! Il y avait une superbe lumière au moment de prendre les clichés du phare, une chance